- Autre aventure Machete
Une suite :
Le premier opus des aventures de Machete s'achevait sur la phrase suivante "Machete sera de retour dans Machete Kills et Machete Kills Again". Le public attendait donc ce Machete Kills de manière logique. "On n'avait pas envisagé de tourner deux suites au départ", confie le cinéaste, en poursuivant : "mais on a conquis un certain public et on a créé une attente. Du coup, on s'est dit qu'on allait tourner Machete Kills - autrement dit, un deuxième épisode qui donnerait un avant-goût du troisième". Il semblerait donc qu'un numéro 3 se profile à l'horizon...
Ce Machete qui lui colle à la peau :
Danny Trejo est lié de manière inéluctable au taiseux Machete, devenu culte, un personnage qu'il affectionne tout particulièrement : "Ce que j'adore chez Machete, c'est qu'il s'agit d'un type comme les autres capable de foutre une raclée à ses adversaires. Et il utilise sa tête pour y parvenir", observe l'acteur. La Machete-mania est telle que "dès qu'il va quelque part, les gens l'arrêtent dans la rue et ne l'appellent pas 'Danny' mais 'Machete'", comme le raconte Robert Rodriguez, avant d'enchérir : "Même sa mère l'appelle comme ça depuis". Quand même !
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Le Grindhouse : « Des films faits avec peu ou pas d'attention à la qualité ni au mérite artistique mais dans la perspective d'un bénéfice rapide, habituellement par l'intermédiaire de techniques de vente sous pression et de promotion qui insistent sur l'aspect sensationnel du produit ».
Les films d'exploitation reposent le plus souvent sur un scénario basé sur les interdits et les tabous de la société, notamment le sexe, la violence, la drogue, la nudité, les monstres, le gore, les instincts de destruction et de rébellion et les mutilations. Des films de ce genre ont existé dès les débuts du cinéma et étaient populaires dans les années 1930.
Au début des années 1960 et spécialement dans les années 1970, les sujets des films grindhouse étaient dominés par le sexe, la violence, le bizarre, le pervers et autres contenus tabous.
Chez les cinéphiles cependant, un certain intérêt pour les films d'exploitation a survécu grâce aux DVD.