- BD de DC Comics.
De "Desperado" à Pistolero :
Le nom du personnage principal du film, Pistolero, qu'incarne le metteur en scène Larry Bishop, est un hommage au titre de travail de Desperado de Robert Rodriguez (grand ami de Quentin Tarantino) qui était présentement Pistolero.
Rencontres sur le plateau de Kill Bill :
Larry Bishop et Michael Madsen se sont rencontré pendant le tournage Kill Bill : Volume 2 qu'ils tournaient pour un certain Quentin Tarantino. Le monde est petit !
L'équipe Tarantino :
Le film réuni quelques habitués de l'univers Tarantino. Outre Quentin Tarantino lui-même, à la production, le film met en scène Michael Madsen (Reservoir Dogs, Kill Bill : Volume 2) ainsi que le metteur en scène lui-même, Larry Bishop qui jouait le rôle du patron du night club dans lequel travaille Bud dans Kill Bill : Volume 2. A la production on retrouve également Bob et Harvey Weinstein, collaborateurs historiques de Tarantino.
Tarantino prévu dans le casting :
Au départ, Quentin Tarantino devait jouer un des personnages principaux du films, Comanche. Le rôle a finalement été confié à Eric Balfour, acteur dans les saisons 1 et 6 de 24 heures chrono, que l'on verra dans Silver Cord de James Ordonez , aux côtés de Val Kilmer.
Thématique (Tag) :
Le Grindhouse : « Des films faits avec peu ou pas d'attention à la qualité ni au mérite artistique mais dans la perspective d'un bénéfice rapide, habituellement par l'intermédiaire de techniques de vente sous pression et de promotion qui insistent sur l'aspect sensationnel du produit ».
Les films d'exploitation reposent le plus souvent sur un scénario basé sur les interdits et les tabous de la société, notamment le sexe, la violence, la drogue, la nudité, les monstres, le gore, les instincts de destruction et de rébellion et les mutilations. Des films de ce genre ont existé dès les débuts du cinéma et étaient populaires dans les années 1930.
Au début des années 1960 et spécialement dans les années 1970, les sujets des films grindhouse étaient dominés par le sexe, la violence, le bizarre, le pervers et autres contenus tabous.
Chez les cinéphiles cependant, un certain intérêt pour les films d'exploitation a survécu grâce aux DVD.