- Roman d'Anthony Burgess.

- Voir aussi  Vinyl  .

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Un monde dystopique est un récit de fiction dépeignant une société imaginaire organisée de telle façon qu'il est impossible de lui échapper et dont les dirigeants peuvent exercer une autorité totale et sans contraintes de séparation des pouvoirs, sur des citoyens qui ne peuvent plus exercer leur libre arbitre.

Le genre de la dystopie est souvent lié à la science-fiction, mais pas systématiquement, car il relève avant tout de l'anticipation. Ainsi, l'impact que ces romans ont eu sur la science-fiction a souvent amené à qualifier de dystopie toute œuvre d'anticipation sociale décrivant un avenir sombre.

La censure :

Film retiré de l'affiche en Grand Bretagne (jusqu'en 1999) par Stanley Kubrick après avoir reçu plusieurs lettres de menaces.

La question de la morale est un des thèmes centraux du film (comme dans beaucoup des livres de Burgess), surtout la définition du « bien » et du « juste » et quelles méthodes utilisées pour stopper les comportements immoraux.

Caméo :

Stanley Kubrick fait une brève apparition de dos, au moment où Alex se rend chez le disquaire.

Les Super-Vilains au cinéma :

Alex DeLarge, un sociopathe qui s'intéresse au viol, à la musique classique et à l'« ultraviolence », dirige un petit gang de voyous (Pete, Georgie et Dim), qu'il appelle ses droogies (qui provient du russe, äðóã qui signifie « ami » ou « pote »). Le film est la chronique de l'action criminelle du gang, de la tentative de réhabilitation d'Alex via un controversé conditionnement psychologique. Alex narre à la première personne l'action du film dans le langage Nadsat, un argot adolescent comprenant des langues slaves (principalement du russe), de l'anglais et du Rhyming slang Cockney.