Cette grande fresque épique située dans les années 30 au moment de la découverte du pétrole, raconte la rivalité entre deux émirs d’Arabie et l’ascension d’un jeune Prince dynamique qui va unir les tribus du royaume du désert.
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- Oeuvre de Hans Ruesch.
Détournement de contrat :
Le producteur Tarak Ben Ammar aurait employé des techniciens français sous contrat tunisien pour diminuer les charges sociales. Le Syndicat national des techniciens et travailleurs de la production cinématographique a alors donné forme à un mouvement social, et fait savoir que cette mesure économique aurait aussi pour conséquence de priver les salariés de leurs droits Assedic. Tarak Ben Ammar soutient : "Je n'ai fait que respecter la loi !"
Réponse aux polémiques :
Face à la polémique concernant les détournements de contrats, Tarak Ben Ammar, producteur et Président de la société Quinta Communications, a rédigé un droit de réponse dans lequel il affirme la légitimité et la légalité totale de la production sur le film de Jean-Jacques Annaud : "Quinta n'a pas de leçons de patriotisme économique à recevoir alors qu'elle a contribué très largement depuis dix ans au sauvetage des industries techniques de l'audiovisuel et au maintien de ses emplois en France", affirme le producteur.
Echec commercial :
Avec un réalisateur aussi renommé et un casting savoureux, ces films pouvaient espérer une meilleure carrière dans les salles, et pourtant... Or noir de Jean-Jacques Annaud, fresque épique à la Lawrence d'Arabie, avait de quoi faire rêver avec le césarisé Tahar Rahim, Freida Pinto et Antonio Banderas. Cependant, il n'a attiré que 200 000 spectateurs, un résultat bien maigre pour une production à 38 millions de dollars.
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