Un réalisateur prolifique :

La Prima Cosa Bella est le onzième long métrage de Paolo Virzi en seulement 16 ans.

Un film simple :

Le précédent film de Paolo Virzi, Tutta la vita davanti, avait pour thème les problèmes de la société italienne. Avec La Prima Cosa Bella, il a voulu faire un film plus simple. "J'ai voulu cette fois-ci me protéger dans la chaleur de cette histoire, qui parle de personnages qu'on apprend à aimer : le cercle de la vie avec ses durs mais joyeux mystères, dans une famille comme beaucoup d'autres. Et pour une fois, peut-être, pas de regard sur notre société. Seulement de vibrants morceaux de mon coeur", confie le réalisateur italien.

Ville natale :

Avec La Prima Cosa Bella, Paolo Virzi est de retour dans sa ville natale de Livourne. Un retour inévitable si on en croit ses propos : "Ce fut une expérience émouvante pour moi de faire ce film dans la ville dont j'ai essayé de m'échapper pendant un quart de siècle. Apparemment, je ne pouvais pas m'en séparer complètement. Livourne est comme ma scène personnelle, un peu comme Newark pour Philip Roth, Boulder pour John Fante, ou le Rione Sanità pour Mario Merola. C'est une ville où des gens ordinaires vivent des histoires extraordinaires, que je suis excité de raconter et de mettre en image."