Il est veuf. Il est retraité. Il n'est plus heureux. Il traîne son malheur d'heure en heure. Alors il regarde. Il regarde la ville, les gens, la vie, le monde. Il entend les sons, les bruits, les voix, les cris. Il pense que son bonheur n'a été qu'un cocon anesthésiant. Alors il se dit que le malheur est, peut-être, source d'altruisme.