- Trilogie Les bronzés - 2ème volet.
Les Bronzés font du ski est la suite des Les Bronzés. On y retrouve le même groupe de personnages, cette fois-ci en vacances au sport d'hiver. L'idée d'une suite est d'abord venue du producteur Yves Rousset-Rouard avant même que le premier soit terminé. D'abord réticents, les comédiens et le cinéaste furent convaincus par l'énorme succès des Bronzés.
Un troisième épisode des bronzés autour d'un voyage à New York fut envisagé après le succès des Bronzés font du ski mais l'équipe y renonça pour se consacrer finalement au Père Noël est une ordure.
Patrice Leconte ne fut pas invité à mettre en scène ce nouveau projet car il y eut une petite mésentente entre lui et une partie de l'équipe du Splendid après la publication dans la presse d'un article dans lequel le cinéaste aurait déclaré : "je vaux mieux que Les Bronzés font du ski." Il reconnaît aujourd'hui devoir une grande partie de sa carrière à la troupe de comédiens.
Scènes ou phrases cultes :
Sur un malentendu, ça peut marcher - Avec un D comme dusse ! - Choubidou wha (générique) - Énorme gourmette en or - Epaule démise - Gagner un généraliste - Fernande - J'ai une pêche - Je vous rapporte vos affaires - La liqueur d'échalottes - La mer c'est dégueulasse - La trouille - Oui... voilà... j'arrive ! - Pas d'amitié - Résultat criterium - T'es mauvais - Train pour Bourg Saint Maurice? - Un volet dans la figure - Vous urinez sur ma voiture - Y'a pas de mal - Y en a plus, c'est bête ! - Copain comme cochon - Huitre qui fait pouet-pouet - Les secours - La foune de 3 ans d'age - Les crêpes au sucre.
Anecdotes sur le film :
- Dans le scénario original des "Bronzés font du ski", Michel Blanc chantait "Etoile des neiges", de Line Renaud, coincé sur son télésiège. Les ayant-droit ayant refusé son utilisation dans le film, la chanson fut modifiée en "Quand te reverrais-je, pays merveilleux", lors de la post-production. On voit d'ailleurs que ce qu'il chante ne correspond pas au mouvement de ses lèvres.- Fernand Bonnevie, qui joue le moniteur de ski avec lequel Jean-Claude Dusse apprend le " planter de bâton ", était réellement moniteur à l'école du ski français de Val-d'Isère. Patrice Leconte l'avait choisi pour le rôle car, comme il le disait lui-même, il voulait un vrai moniteur savoyard avec l'accent et le visage buriné par la réverbération du soleil sur la neige.