Sans dialogue, seul les animaux marins sont les acteurs. Luc Besson dit d'Atlantis que c'est sa ville, son rêve, le rêve d'un homme devenu poisson. Les êtres humains n'y ont pas place et seule règne la beauté des fonds où évoluent par centaines dauphins et requins, accompagnés par la musique d'Eric Serra.