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Je m'appelle Bernadette (2011)

Historique | 109 Min | France

Réalisateurs : Jean Sagols

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Synopsis

Entre les mois de février et juillet 1858, dans la Grotte de Massabielle, la Vierge est apparue dix-huit fois à Bernadette Soubirous, petite fille misérable de Lourdes. Une véritable "révolution" mariale qui, au cœur du Second Empire, bousculera l’ordre établi par son message universel d’amour et de prière.

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Date de reprise le 1er mai 2024.



18 apparitions :


Bernadette témoigne de dix-huit apparitions de la Vierge entre le 11 février et le 16 juillet 1858 dans la petite grotte de Massabielle, renfoncement dans une paroi rocheuse le long du Gave de Pau, à proximité immédiate du bourg de Lourdes.



Soubirous et le cinéma :


Je m'appelle Bernadette n'est pas le premier film à évoquer cette incroyable histoire. Auparavant, d'autres cinéastes s'y sont intéressés : Henry King avec Le Chant de Bernadette, Robert Darenne avec Il suffit d'aimer et Jean Delannoy, par deux fois, avec Bernadette et La Passion de Bernadette.



Marie-Bernarde Soubirous (en gascon graphie dite classique Maria Bernada), plus connue sous le diminutif Bernadette, née le 7 janvier 1844 dans le département des Hautes-Pyrénées à Lourdes (dans la Bigorre) et morte le 16 avril 1879 dans le département de la Nièvre à Nevers, est une jeune fille française qui a affirmé être témoin de dix-huit apparitions mariales à la grotte de Massabielle entre le 11 février et le 16 juillet 1858. Devenue religieuse, elle est canonisée en 1933.



Bernadette employait surtout le terme gascon de Bigorre « aquèra » (c'est-à-dire « celle-ci ») pour désigner l'objet de sa vision. Elle ne dira pas avoir vu la Vierge avant d'affirmer l'avoir entendue dire « Que sòi era Immaculada Concepcion », c'est-à-dire, « Je suis l'Immaculée Conception ». Au cours d'une de ses apparitions, Bernadette a creusé le sol pour y prendre de l'eau. L'eau de cette source est rapidement réputée miraculeuse et il commence à être question de guérisons. S'en tenant à ce qu'elle avait vu et entendu, Bernadette niera avoir été témoin de guérisons ou y avoir contribué : « On m'a dit qu'il y avait eu des miracles, mais à ma connaissance, non », déclare-t-elle en septembre 1858.



Dans un contexte post-révolutionnaire de vives polémiques sur les questions religieuses et, quelques années après les apparitions mariales de la rue du Bac et de La Salette, celles de Lourdes suscitent un engouement populaire important et croissant. La presse nationale commence à s'y intéresser, durant l'été 1858, notamment avec la publication, par Louis Veuillot, d'un article très remarqué dans L'Univers du samedi 28 août 1858.


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