Marie-Christine et Claude vivent dans l'aisance que leur procurent des maris fortunés. Les jours se succèdent indentiques entre eux sans qu'aucun événement important si ce n'est une liaison éphémère, ne vienne perturber cet ordre provincial bourgeois qui commence à peser. Tennis, expression corporelle, sont les principales activités d'une dizaine de femmes de même condition, qui se reçoivent, s'invitent, bavardent de choses et d'autres, des enfants, des maris, de la mode, de la vie.