Dans les années 90, le médecin spécialisé en anatomie pathologique, Jack Kevorkian, avait défrayé la chronique en défendant le droit à l'euthanasie. “Le docteur de la mort” a même avoué via l'émission “60 minutes” plus de 130 participations au suicide assisté, notamment grâce à des machines médicales élaborées par ses soins qui permettaient au patient de mettre fin à ses jours. Le “Thanatron” lâchait des substances létales sur demande. Le “Mercitron” lui, intoxicait le patient consentant au monoxyde de carbone. Emprisonné en 1999, il fut libéré en 2007, à près de 80 ans, pour s'être bien comporté en prison. Une clémence due également au fait qu'il souffrait d'une hépatite C.