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Captivity (2005)

Suspense | 95 Min | USA / Russie

Réalisateurs : Roland Joffé

Infos sur le film

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Synopsis

Jennifer Tree est la nouvelle top que s'arrachent les photographes et couturiers new-yorkais. La fille qui fait rêver le grand public .... pour le meilleur et pour le pire. Un soir, Jennifer est suivie dans la rue par un homme, qui parvient à la droguer. Elle se réveille dans une cellule préparée à son attention et remplie d'objets personnels volés dans son appartement. Son ravisseur l'oblige à regarder des vidéos de femmes torturées ....

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En savoir plus sur ce Film

Affiches censurées, film sanctionné :


Aux Etats-Unis, en mars 2007, une série de quatre affiches du film dut être retirée des murs de Los Angeles et New York après que AfterDark Films, l'une des maisons de distribution du long métrage aux Etats-Unis, eut reçu des dizaines de plaintes de particuliers et d'associations familiales et que des éditorialistes eurent signé des papiers véhéments pour dénoncer la violence de ces affiches, présentes sur les murs des deux villes depuis le 13 mars, respectivement titrées "Enlèvement", "Confinement", "Torture" et "Fin". La première montrait Elisha Cuthbert avec la main d'un agresseur gantée de noir sur la bouche ("Enlèvement"), la deuxième ("Confinement") la laissait deviner derrière une grille, la troisième ("Torture") la montrait effrayée, du sang coulant de l'une de ses narines, tandis que la dernière ("Fin") présentait son corps sans vie. Lancé en dépit de l'interdiction de la MPAA (association des grands studios américains), cet affichage valut au film de se voir sanctionner le 29 mars par la puissante association, qui suspendit le processus d'attribution du visa d'exploitation pendant un mois.



Action confinée :


L'intrigue de Captivity se déroule essentiellement dans deux décors : une cellule exiguë et la maison sous laquelle elle se situe. Roland Joffé en a fait une trame fondamentale de la narration du film, une toile dans laquelle les personnages se laissent attraper. "Ce confinement sert d'autant mieux le film que les personnages évoluent de façon surprenante", raconte le réalisateur. "Captifs avec eux, nous partageons plus intensément leurs épreuves, leurs peurs et leur douleur." S'ajoute au huis clos une utilisation de la lumière qui joue entre la clarté et l'obscurité, ce qui renforce la tension.



Changement de genre pour Joffé :


Mieux connu pour ses films dramatiques et ses fresques historiques, le choix de Roland Joffé pour Captivity est surprenant. "L'implication de Roland Joffé comme réalisateur m'a donné à voir le scénario différemment, à cent lieues d'un film d'horreur classique", explique Leonid Minkovski, l'un des deux producteurs russes. "Je me suis rendu compte qu'il ne s'agirait pas simplement d'un film effrayant comme tous les autres, mais d'un passionnant thriller psychologique." N'ayant jamais tâté du film de genre, Joffé s'est enfermé avec son producteur Mark Damon pour visionner de nombreux longs-métrages horrifiques afin d'étudier les techniques nécessaires.


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