Walter met en scène «le Don Juan» de Mozart. D'emblée il déclare aux chanteurs médusés qu'il déteste l'opéra et que le livret de Da Ponte est inutilisable. Peu à peu il va imposer aux chanteurs son point de vue sur le chant qui n'est pas une fin en soi. Il incite chanteurs et musiciens à partir à la recherche de leur propre érotisme. Le fantôme de Mozart ponctue les répétitions de ses apparitions. Il s'amuse et s'émeut des réactions que Walter et son opéra suscitent. Le soir de la première, le public fait un triomphe au spectacle.