Selon Jean-Luc Godard, il s'agit d'un film en six parties dont les cinq premières constituent " une très longue introduction [...] comme si avant de voir la main, on voit séparément les cinq doigts ", la sixième étant " une espèce de fable " sur une fausse révolution conçue par un chef d'un émirat fictif privé de ressources pétrolières.