Anciens héros :
Bitch Slap rassemble les acteurs principaux de deux séries très populaires des années 90 et partageant le même univers : Xena, la guerrière et Hercule. Les héros sont bien sûr présents dans le film, Lucy Lawless (Xena) et Kevin Sorbo (Hercule), tout comme leur acolyte respectif de l'époque, Renée O'Connor (Gabrielle) et Michael Hurst (Iolas).
Le réalisateur de Spartacus :
Avant de réaliser Bitch Slap, Rick Jacobson s'est illustré dans la mise en scène de plusieurs épisodes des séries Spartacus : Les dieux de l'arène et Spartacus : Le sang des gladiateurs... deux shows dans lesquels Lucy Lawless - la mère supérieure de Bitch Slap - tient l'un des rôles principaux. Il ne s'agissait pas de leur première rencontre, puisque Rick Jacobson a dirigé l'actrice dans une douzaine d'épisodes de la série Xena, la guerrière.
Ouvrons le dictionnaire à "Bitch Slap" :
Attention : anecdote interdite aux moins de 12 ans ! Le titre du film Bitch Slap est aussi raffiné que ses héroïnes ! En français, il peut se traduire par une grosse baffe ou une claque. Plus vulgairement, cela se rapproche plus de "faire un coup vache" ("un coup de p...").
Thématique (Tag) :
Le Grindhouse : « Des films faits avec peu ou pas d'attention à la qualité ni au mérite artistique mais dans la perspective d'un bénéfice rapide, habituellement par l'intermédiaire de techniques de vente sous pression et de promotion qui insistent sur l'aspect sensationnel du produit ».
Les films d'exploitation reposent le plus souvent sur un scénario basé sur les interdits et les tabous de la société, notamment le sexe, la violence, la drogue, la nudité, les monstres, le gore, les instincts de destruction et de rébellion et les mutilations. Des films de ce genre ont existé dès les débuts du cinéma et étaient populaires dans les années 1930.
Au début des années 1960 et spécialement dans les années 1970, les sujets des films grindhouse étaient dominés par le sexe, la violence, le bizarre, le pervers et autres contenus tabous.
Chez les cinéphiles cependant, un certain intérêt pour les films d'exploitation a survécu grâce aux DVD.