La première partie évoque la vie d'Anne-Marie Stretter aux Indes, la seconde met en scène la réception qui a lieu à l'Ambassade de France, et la dernière se situe aux îles. La particularité du film se situe dans la désynchronisation de ce que Duras appelle "le film des voix" et "le film des images". En effet, les personnages ne parlent jamais en "son synchrone in" (leurs paroles ne sont accompagnées d'aucun mouvement des lèvres).