- Oeuvre de William Shakespeare.
Un premier film :
Were the world is mine est le premier long-métrage de Tom Gustafson. Il a précédement collaboré aux castings de plusieurs productions hollywoodiennes comme Master and Commander de Peter Weir, Raisons d'état de Robert de Niro et Pirates des Caraïbes de Gore Verbinski. Alors étudiant à la NorthWestern University, il réalise son premier court métrage, The need. En 2003, il crée Speak Productions et réalise Fairies, un court métrage multi-récompensé dans de nombreux festivals.
Sur la conception du film :
Vu le projet ambitieux du réalisateur, beaucoup de producteur ont eu peur de financer le film. L'équipe monta donc un plan de production rigoureux, passant des mois à créer plans et story-boards. Les scénaristes passèrent des mois sur le casse tête du calendrier de tournage, passant et repassant en revue plus de 120 lieux différents jusqu'à dégager un timing risqué mais possible de 4 semaines de tournage. Le plan et le budget étaient serrés, mais l'équipe de tournage tenait compte des limites, et chaque nouveau membres s'impliquait à fond pour faire du tournage un succès.
Un film aux multiples récompenses :
Présenté dans de nombreux festivals, récompensés par 12 Prix du Jury dont Meilleur Film et 9 Prix du Public dont Meilleur Film, "Were the world mine" est le premier film de Tom Gustafson qui adapte son court métrage à succès: "Fairies". Sur le ton de la comédie, "were the world mine" met en évidence les diffultés à vivre son homosexualité pour un adolescent dans une petite ville de province.
Inspiré par une pièce de William Shakespeare :
La pièce de théâtre que préparent les élèves est "Le songe d'une nuit d'été" et les paroles des chansons du film sont tirées du texte original de la pièce de William Shakespeare.