Récompense :

Grand Prix au 13ème Festival International du Film de Comédie de l'Alpe d'Huez 2010.

Une volonté de réalisme :

Le plus grand défi du film a été de rendre les scènes de combats de sumo aussi réalistes que possible. Pour cela, l'équipe du film n'a pas ménagé ses efforts : Sharon Maymon et Erez Tadmor se sont déplacés au Japon pour visiter plusieurs universités de sumo, assister aux combats et interroger les sportifs. Les acteurs eux-mêmes ont été soumis à trois mois d'entrainement intensif avec un professeur de sumo israélien.

Une leçon de tolérance :

Pouvant s'apparenter à une sorte de "The Full Monty" israélien, comme on a pu le lire ici et là, Sumo est considéré par l'un de ses réalisateurs Sharon Maymon comme un film allant au-delà du divertissement, centré sur la question de l'acceptation des différences : "Je crois que le cinéma peut changer les choses, et c'est pourquoi mes films traiteront toujours des problèmes sociaux."

Rébellion :

Sharon Maymon : "Au départ, je voulais écrire un scénario sur l'acceptation de soi et je me suis dit qu'à travers le sumo et la rébellion contre la dictature de la minceur, je pouvais aborder ce thème-là de manière originale."