Cohl décide de dessiner un petit bonhomme, à l'allure clownesque, qui se déplace dans un univers surréaliste. Il naît « de la main » de Cohl dès la première scène et tout au long du film, il apparaît et disparaît au gré de ses envies pour semer le trouble chez des spectateurs venus au théâtre. Il est capable de se transformer à partir d'une bulle, de transformer sa tête en bilboquet, devient prisonnier d'une bouteille, en ressort… Et quand il est brisé en deux, c'est la main de Cohl qui intervient pour le « réparer ».