Suzanne Laubespin, fille d’un trésorier-payeur général, sur les instances de son père accepte d’épouser le comte Georges de Wallauris malgré son amour pour le lieutenant Jean du Sommeré. Le comte, après le mariage, reprend très vite son ancienne existence de débauche. Suzanne, apprend qu’il a une maîtresse, une certaine Aurélie Chéraine. Dans un instant de colère, elle tue son mari d’un coup de stylet. Aurélie est accusée du meurtre. Suzanne, dans son désarroi, se confie au père Aurégan. Ce dernier, sans révéler le secret de la confession, vient dire au tribunal qu’il est sûr qu’Aurélie n’est pas coupable. Elle est acquittée mais elle reconstitue le drame et veut faire chanter Suzanne. Celle-ci, décide de se donner la morte. Sauvée in extremis, elle pourra, désormais être heureuse avec Jean.