Poursuivi par la Gestapo, Georges se réfugie dans une clinique psychiatrique où on le fait passer pour fou. Lors de son évacuation, il est trahi et doit étrangler un agent de la Gestapo. Considéré maintenant comme un vrai fou, il ne sortira, diminué, qu'à la Libération. Il se trouve alors incapable de faire la preuve de son faux internement.