Par goût de l'argent, un couple d'adolescents organise une escroquerie aux automobilistes ....
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Oshima, qui n'a que 28 ans au moment de la réalisation, fait un large usage de la caméra portée et du tournage en extérieur, ce qui lui vaut d'être comparé aux autres réalisateurs des Nouvelles Vagues qui émergent simultanément dans plusieurs pays. Contes cruels de la jeunesse est ainsi considéré comme l'un des premiers films de la Nouvelle vague japonaise.
L'utilisation de personnages d'adolescents criminels comme héros fut source de controverse à l'époque, ce qui n'empêcha pas le film d'être un succès commercial et d'ouvrir la voie à toute une nouvelle génération de réalisateurs parmi lesquels Shohei Imamura, Masahiro Shinoda, Yasuzo Masumura, Susumu Hani, Hiroshi Teshigahara qui attirèrent l'attention internationale. Avec ce film, Oshima commence à explorer les thèmes qui le rendront célèbre : la jeunesse marginale et la déconstruction critique de l'imagerie stéréotypée du cinéma japonais.
Contes cruels de la jeunesse est le premier des trois films qu'Oshima tournera en 1960, suivront : L'Enterrement du soleil et Nuit et brouillard du Japon
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