Anna Semionovna est russe, juive, médecin dans une ville d'Ukraine. La dernière lettre est celle qu'elle écrit en 1941 à son fils, physicien célèbre qui vit loin du front, dans un institut de sciences soviétiques. Elle l'écrit quelques jours avant d'être assassinée par les Allemands. Dans cette lettre, elle parle de sa vie quotidienne sous l'occupation, de l'indifférence des uns et de la compassion des autres et enfin de sa prise de conscience d'être juive avant d'être russe.